
Marion Tromel
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Lyrics
Mille Sept Cent Cinquante Cinq, bienvenu dans ma contrée
Là où la croix du Christ ressemble à un gibet
Des pauvres en émotions sont riches en désarroi
Où la bande a Finefont y défiera le Roi
Les jours ont glissé sur mon physique sans rides
Comme la neige dans l'avalanche du temps
Mes lèvres fissurées à la parole perfide
Brûlant les affidés aux desseins nonchalants
Parjure avec moi le messie, les crucifiés sont couverts d'ignominie
Trahis avec moi sa Majesté, privilège fiscal à en crever !
Pourquoi porter la croix ? Le nazaréen le fait si bien.
Irais-tu à la messe ? Mais Dieu n'écoute en rien.
J'abandonne les prières aux gens qui ont la foi
Je lèche les larmes des frères mourants tous dignes et droits
Fustigée nue de verges par trois jours de marché
Marquée au fer rouge par la lettre V
Pour avoir bafoué ton autorité
La corde jusqu'au ciel, la postérité
Les jours ont glissé sur mon physique sans rides
Comme la neige dans l'avalanche du temps
Mes lèvres fissurées à la parole perfide
Brûlant les affidés aux desseins nonchalants
Parjure avec moi le messie, les crucifiés sont couverts d'ignominie
Trahis avec moi sa Majesté, privilège fiscal à en saigner !
Là où la croix du Christ ressemble à un gibet
Des pauvres en émotions sont riches en désarroi
Où la bande a Finefont y défiera le Roi
Les jours ont glissé sur mon physique sans rides
Comme la neige dans l'avalanche du temps
Mes lèvres fissurées à la parole perfide
Brûlant les affidés aux desseins nonchalants
Parjure avec moi le messie, les crucifiés sont couverts d'ignominie
Trahis avec moi sa Majesté, privilège fiscal à en crever !
Pourquoi porter la croix ? Le nazaréen le fait si bien.
Irais-tu à la messe ? Mais Dieu n'écoute en rien.
J'abandonne les prières aux gens qui ont la foi
Je lèche les larmes des frères mourants tous dignes et droits
Fustigée nue de verges par trois jours de marché
Marquée au fer rouge par la lettre V
Pour avoir bafoué ton autorité
La corde jusqu'au ciel, la postérité
Les jours ont glissé sur mon physique sans rides
Comme la neige dans l'avalanche du temps
Mes lèvres fissurées à la parole perfide
Brûlant les affidés aux desseins nonchalants
Parjure avec moi le messie, les crucifiés sont couverts d'ignominie
Trahis avec moi sa Majesté, privilège fiscal à en saigner !
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